Tronc commun Contrôle
Texte :
Je me souviens que lorsque j’étais enfant, les chasseurs apportaient à la maison, vers l’automne, de belles et douces perdrix (1) ensanglantées. On me donnait celles qui étaient encore vivantes, et j’en prenais soin. J’y mettais la même ardeur et les mêmes tendresses qu’une mère pour ses enfants, et je réussissais à en guérir quelques unes. Elles seraient mortes de fatigue et de chagrin si je ne leur eusse donné la liberté. Aussi, je m’étais habitué à sacrifier le plaisir de la possession au plaisir de la générosité. C’était un jour de vives émotions que celui où je portais une de mes palombes (2) sur la fenêtre. Je lui donnais mille baisers. Je la priais de se souvenir de moi et de revenir manger les fèves tendres de mon jardin. Je l’embrassais encore, le cœur gros et les yeux pleins de larmes. Enfin, je la posais sur la fenêtre. Elle restait quelque temps immobile, puis elle partait avec un petit cri de joie qui m’allait au cœur.
(1,2 : Les perdrix et les palombes sont des oiseaux)
Questions :
I) compréhension :
1) quel est le type de ce texte ? Justifie ta réponse. (2 pts)
2) Réponds par « vrai » ou « faux » :
L’auteur: a -raconte un souvenir. b- rédige un article sur les oiseaux. (1pt.)
3) quel est le sentiment qu’éprouve l’enfant envers les perdrix ? (1 pt)
4) Avec quoi l’auteur compare t- il la tendresse qu’il donne aux perdrix ? (1pt).
II) langue :
5) Complète le tableau suivant : (3 pts)
Verbes Personnes Présent Passé composé Passé simple
-apporter je
-Sortir nous
6) quelle est la valeur des temps des verbes suivants (2 pts).
Me souviens :…………… ………… apportaient :………….. ………….
III) production écrite :
7) faites la description d’une personne que vous connaissez
Texte :
Je me souviens que lorsque j’étais enfant, les chasseurs apportaient à la maison, vers l’automne, de belles et douces perdrix (1) ensanglantées. On me donnait celles qui étaient encore vivantes, et j’en prenais soin. J’y mettais la même ardeur et les mêmes tendresses qu’une mère pour ses enfants, et je réussissais à en guérir quelques unes. Elles seraient mortes de fatigue et de chagrin si je ne leur eusse donné la liberté. Aussi, je m’étais habitué à sacrifier le plaisir de la possession au plaisir de la générosité. C’était un jour de vives émotions que celui où je portais une de mes palombes (2) sur la fenêtre. Je lui donnais mille baisers. Je la priais de se souvenir de moi et de revenir manger les fèves tendres de mon jardin. Je l’embrassais encore, le cœur gros et les yeux pleins de larmes. Enfin, je la posais sur la fenêtre. Elle restait quelque temps immobile, puis elle partait avec un petit cri de joie qui m’allait au cœur.
(1,2 : Les perdrix et les palombes sont des oiseaux)
Questions :
I) compréhension :
1) quel est le type de ce texte ? Justifie ta réponse. (2 pts)
2) Réponds par « vrai » ou « faux » :
L’auteur: a -raconte un souvenir. b- rédige un article sur les oiseaux. (1pt.)
3) quel est le sentiment qu’éprouve l’enfant envers les perdrix ? (1 pt)
4) Avec quoi l’auteur compare t- il la tendresse qu’il donne aux perdrix ? (1pt).
II) langue :
5) Complète le tableau suivant : (3 pts)
Verbes Personnes Présent Passé composé Passé simple
-apporter je
-Sortir nous
6) quelle est la valeur des temps des verbes suivants (2 pts).
Me souviens :…………… ………… apportaient :………….. ………….
III) production écrite :
7) faites la description d’une personne que vous connaissez