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résumé des chapitres de roman : La boîte à merveilles

BENLAHMAR MOHAMMED
AHMED SEFRIOUI, LA BOITE À MERVEILLES
RESUME DES CHAPITRES
CHAPITRE I.
SEQUENCE 1.
-Solitude<<-L’espace clos et énigmatique du logement (maison de la Chouafa, son rituel : Gnaoua, nettoyage permanent à grande eau).

-Habitants de la maison : après le « nous »du narrateur, après la voyante, c’est le moment pour faire progresser la liste des personnages<<-Description du local : du rez-de chaussée jusqu’à la 2ième étage en passant par le patio.
-les deux derniers paragraphes sont consacrés au métier de la chouafa.
SEQUENCE 2.
-Mémoire parfaite du narrateur, donc les événements révélés seraient exacts et vivants.
-Incertitude du narrateur pour définir sa situation : solitude ou malheur<<<-Il a une inclination pour le rêve : se plait dans un monde imaginaire et fabuleux et veut y être entré.
-Enfant et semblables : différences<<<-Le personnage d’ABDALLAH, l’épicier : le conteur vient pour consolider l’extrême désir du narrateur. Fasciné par l’art oratoire, Sidi Mohammed, trouve dans cet épicier l’initiateur à ce monde Invisible et lointain.
-Le père comme conteur : l’histoire du Paradis nécessite « attendre pour mourir », mais le narrateur veut connaître les choses le plus tôt possible.Il n’admet pas cette attente « au milieu d’un grouillement de têtes rasées, de nez humides. »
-Place du Msid : Derb Nuoalla.
-Portrait du Fqih (le premier personnage décrit) : autoritaire, coléreux. Son domicile .RUE JIAF <<-Le bain maure : effroi au début, assimilation à l’Enfer.
-Scènes du bain (description) : Promiscuité (mélange) et impudeur<-Malaise ressenti<<-Le nom de la caissière : lalla Fattoum.
-Face aux maladresses (dérangement) provoquées, subies par le narrateur, la mère décide ne plus l’amener avec elle.
-Rester seul, l’enfant médite face aux merveilles de sa Boite.<<SEQUENCE 3.
-Le lendemain du bain : Récits narrés caricaturalement par la mère<-Information sur le père : il rentrait toujours tard, toujours il trouve sa maison en mauvaise humeur<<-Un des récits de la mère concerne Rahma lorsqu’elle a fait la lessive au jour consacré à Lalla Zoubida : lundi.
-Après le conflit du jour, une dispute nuitamment déchaînée entre les deux femmes. Tous les voisins en furent témoins et y participent par leurs cris : EVANOUISSEMENT DU NARRATEUR.
CHAPITRE II.
SEQUENCE 1.
-Le mardi, jour néfaste pour les élèves<<-Conséquences de la dispute de la veille : nuit cauchemardesque.
-A six ans : avoir conscience de l’hostilité du monde et la fragilité de son petit corps.
-Visite de Lalla Aicha<-Description de l’ambiance de l’entrée : marchands/visiteurs. Description du sanctuaire : la partie la lus sacrée<<-Elles entrent en contact avec la gardienne qui moyennant un discours élogieux les poussent à « payer » généreusement leur visite.
-Agression du narrateur par un matou.
SEQUENCE 2.
-Le père se lève toujours le premier.
-L’enfant, réveillé, nous décrit l’habillement du père.Voir vaguement suggère l’idée d’un écart entre cet enfant et son père qui est toujours absent.
-Le père demande à Lalla Zoubida de ne pas envoyer le narrateur au Msid voulant par cela à apaiser son état sanitaire
-La maison baigne dans le soleil. Le regard du narrateur suit tout. Devant lui, deux moineaux dialoguent sur le mur du patio.Il affirme connaître leur langage ainsi que celui d’autres bêtes.
-Déception lorsque les deux moineaux partent et l’ignorent.
-La Chouafa est la première qui se lève après le père : satisfaction du narrateur sa présence, seule, permet de faire disparaître l’Invisible.
-Rahma reproche à sa fille sa conduite : mouiller son lit et la gifle. Et la Chouafa intervient pour calmer la mère affligée en glorifiant Zineb.
-La mère s’éveille<<-Deux jours et demi de repos : un vrai paradis pour le narrateur.
-Allal, le mari de Fatma Bziouya, jardinier de son état, emmène des beignets. La femme profite de cette occasion et fournit à Lalla Zoubida deux. Celle –ci refuse ; mais la voisine la convainc. Et c’est Sidi Mohammed qui profite du caractère de sa mère qui entre dans le sentiment de la dignité et mange les deux.
-Apprenti du père : Driss le teigneux, occupe deux fonctions, faire le marché de la maison et aider son maître.
-Situation prospère de la famille.
-Origine montagnarde du Maalem Abdesslem et de sa femme.
-Père, plus âgé que sa femme (22ans/l’autre frise la quarantaine.)
-Le commerce pour la famille est un métier vil
-Rahma fournit au narrateur un gros cabochon de verre à facettes<< CHAPITRE III.
SEQUENCE 1.
-Vendredi soir, après deux jours et demi passés vite, est consacré au Msid.
-Boite à Merveilles en attendant le père.
-L’histoire de la lampe : Fatma puis Zoubida<<-Lalla Zoubida, par une manière habile, cherche à avoir elle aussi une lampe. Le père ne manifeste aucune réaction. Le matin, Driss le Teigneux la porte : joie de la femme et du narrateur lorsqu’il revient du Msid.
-Rahma perd sa fille Zineb : solidarité des voisines, surtout de Lalla Zoubida ; qui participe avec réussite à l’aide de Fatma et emmène la fille (trouvé dans la maison des Idrissides).
SEQUENCE 2.
-Conséquences de la perturbation de la maison : on ignore de donner, comme il faut, le petit-déjeuner à l’enfant.
-Arrivé du père : histoire de Zineb racontée bizarrement par la mère qui montre elle aussi sa maîtrise de l’art oratoire.
-La nuit : songe<<SEQUENCE 3.
-Le jeudi, repas offert aux aveugles et aux pauvres : Le patriarche et ses disciples initient symboliquement le narrateur dans l’art de réciter majestueusement les versets coraniques.
La nuit, les objets de la Boite sont indifférents
CHAPITRE IV.
-Premiers jours du printemps : visite à Lalla Aicha, suivant l’invitation de celle-ci.
-Description de la maison : impasse de Zankat Hajjama (situation aisée du ménage).
-Assimilation de Lalla Aicha (dimension et aspect extérieur) à la porte basse de la porte.)
-Ressemblance entre Zoubida/Aicha (logement+plus loin le sort des deux familles.)
-Plaintes (Aicha) : douleur de jointure, due à son age avancé ; la rage de dents.
-Médisance de la mère (voisines à travers l’ironie se portant sur leur maris) ; même son mari qualifié d’Homme n’échappe pas à ses « ses coups de griffes. »
-Portrait de la mère : « ses yeux mobiles reflétaient une âme d’enfants »-teint d’ivoire- bouche généreuse, nez court et bien fait. Elle ne se piquait d’aucune coquetterie.
-Aicha (être/paraître) : éloge des voisines, mais le motif du chuchotement trahit sa bonne intention vis-à-vis d’elles.
-Invitation à jouer sur la terrasse : jeu à la mariée.
-La mère change de comportement : bonté et description favorable de Rahma, Fatma et Kanza.
-Emerveillement du narrateur face à l’art employé par la mère lorsqu’elle décrit, avec une parfaite maîtrise, les êtres et les réalités à travers lesquelles ils brillent.
-La description de la mère met l’accent sur la Chouafa, en la qualifiant du trait animalier : Le narrateur l’associe aux forces obscures<<-Arrivée de Moulay Larbi : Aicha le rejoint/enfant-mère, seuls/échange de paroles avec une voisine d’en face : scène d’une nzaha finie par un orage au printemps (décrite par la voisine).
-Retour de Aicha : bouleversé car mari en conflit avec son associé Abdelkader qui montre une ingratitude outrée.
-Le père rejoint sa famille et l’emmène : arrivé à la maison ; le lendemain coïncide avec le vendredi. Lorsque le mari arrive, Zoubida raconte l’histoire de Moulay Larbi. Zineb jouait avec le chat : moquerie du narrateur à travers son monologue intérieur.
-Sidi Mohammed se promet d’aller d’aller écouter Abdallah, l’épicier.
-Avant, pendant l’hiver, le père raconte l’histoire de ce conteur qui a suscité plusieurs réactions des gens du quartier ou de ceux environnants ; parmi ces réactions Maalem Abdeslem cite le conflit entre Lahbib, le forgeron avec Si Abdennabi (le premier le défend et l’autre l’accuse…)
CHAPITRE V. 
-Mercredi : nouvel aspect du Msid<<-Le Fqih fait des compliments au narrateur.
-Il annonce l’événement de l’Achoura, la fête du nouvel An, et fixe quinze jours pour se préparer : les élèves doivent se charger de porter de l’huile pour l’éclairage ; de la chaux pour la peinture des murs et les nattes pour couvrir le sol. Il compte sur la générosité des parents.
-Revenu gai, le narrateur trouve sa mère absente<<-Décor différent de la maison : tristesse, monstres apocalyptiques.
-Aide de Lalla Aicha à son mari pour l’installation d’un nouvel atelier car son associer, Abdelkader l’a trahi.
-Mort de Sidi Mohamed Ben Tahar, le coiffeur.
-Histoire concise du coiffeur : célèbre dans le quartier. « Il s’habillait de blanc…et sur ses lèvres flottait un éternel sourire. »
-Désir de Zoubida d’aller pleurer. Elle emmène son fils après l’intervention de Rahma en sa faveur.
-Le narrateur envoie un coup de point sur le nez de Zineb et l’aide certainement à pleurer, car il la trouvait en train de faire un effort à être comme les pleureuses. Il se sauve à la terrasse.
-L’arrivée des psalmistes pour réciter les versets coraniques.
-Retour à la maison par la terrasse.
-Le narrateur fait part de son impression sur les cortèges d’enterrement et s’attriste sur le sort des morts qui ne sont accompagnés de personne. Pour apaiser son enfant, il raconte l’histoire d’une personne qui tient boutique et qui accompagne toujours les cortèges. Une fois, devant un mort qui n’est accompagné que des croquemorts, ce marchand, fait mine de les suivre, mais vite, il renonce à son idée. Les autres lui reprochent son comportement ; mais il leur affirme qu’il a vu des anges accompagnants le défunt, et lui, un simple pécheur, ne peut pas être parmi eux.
-Sidi Mohammed touché par la mort de Ben Tahar : les pleurs des femmes.<<-« Mon père parut très préoccupé à mon sujet. » : Cette phrase montre que l’enfant avait douté avant sur la tendresse paternelle, car il le voit toujours absent.
-La mère offre à son fils une chaînette qui sera vite perdue : il voulait l’essayer sur le coup du chat de Zineb ; mais celui-ci, effrayé, s’enfuyait en essayant de s’en débarrasser. La poursuite exécutée par toute la maison est inutile. L’histoire finit par une dispute entre les deux ennemis éternels.
-Avant de perdre sa chaînette, le narrateur s’appliquait comme un alchimiste qui sait transformer les objets. En effet, il a pu métamorphoser en un objet éclatant.
CHAPITRE VI.
-Lundi. Huit jours avant la fête de l’Achoura. Description du Msid.
-Décoration du Msid : don des familles des élèves.
-Climat d’ambiance : répartition des travaux. Fièreté de l’enfant et satisfaction de ses parents qui essayaient de l’aider moralement.
-Mardi, accompagnement de sa mère à la Kissaria (le marché des tissus) : préparation des habits pour l’Achoura.
-Clémence et tolérance du narrateur : il ne garde de rancune contre personne.
-La Chouafa charge la mère de lui acheter quelque modèle de tissus : mauvaise humeur de Lalla Zoubida vers la fin, car, après avoir parcouru une distance considérable, c’est son fils qui lui rappelle l’achat pour la tante Kanza. Il lui félicite de sa bonne mémoire et commence ses imprécations contre la « sorcière. »
-Rencontre avec une voisine de Lalla Aicha : elle anticipe symboliquement sur la trahison de Moulay Larbi<<-Orgueil du narrateur qui se promet d’éblouir ses amis et connaissances par son éclat vestimentaire. Il devient redresseur de torts et justicier (équitable).
-Dispute avec Zineb à propos de rien : gestes et mimiques.
-Le chant de Khadija, la jeune femme de Si Ottman, pousse Rahma à raconter une histoire amusante sur les deux conjoints. Ses propos avaient « du sel ».
CHAPITRE VII.
SEQUENCE 1.
-Deux jours avant la fête de l’Achoura : Préparatifs des femmes et des enfants<<<-Hammoussa, messager du Fqih, vient pour amener le narrateur : travail collectif.
-La mère refuse que son fils se charge d’acheter le pétrole pour la lampe (voir le chapitre finale, dernière page. C’est lui qui occupe la place du père, même en sa présence, et porte le plateau afin de servir les deux hommes : Maalem abdesslem et Dris el Aouad.)
-Après le refus de la mère, le narrateur, pour se venger, considère sa mère, dans un monologue intérieur, parmi « les personnes arriérées qui craignent les explosions » (cf. l’histoire de la lampe de Fatma.)
-Fierté de l’enfant lorsque sa mère le fait charger de porter de la menthe à Kanza, après la demande de celle-ci. Sureté et assurance, lorsqu’il passe par l’escalier sombre. 
-Le père annonce à son fils qu’il va l’amener le matin afin de lui acheter des jouets.
-joie et ennui : le souvenir qu’il garde du coiffeur, Sidi Abderrhman.
-Séance chez le barbier : à part son bavardage et son audace de s’introduire dans la vie intime de ses clients,le futur beau-père de Moulay Larbi, a parfaitement décrit « la rue », de sorte que lorsque Sidi Mohammed sort, il la trouve toute différente et revêt un aspect éclatant.
SEQUENCE 2.
-Fête de l’Achoura au Msid. La transfiguration du narrateur est claire. Il peut enfin s’insérer dans le groupe et devenir « un membre d’une congrégation de jeunes seigneurs ». Il peut aussi rêver comme pendant les moments de solitudes passés à la maison.
-Visite de Lalla Aicha : récit ironique sur les femmes de la maison voisines<<SEQUENCE 3.
-Le bruit des tambours des femmes bourdonnait. Pour l’éviter, le narrateur entre en contacte avec ses objets merveilleux ; mais il n’a aucune force de les regarder, après une fatigante et inhabituelle.
CHAPITRE VIII
SEQUENCE 2.
-Après la joie de la fête, vient la monotonie.
-La chaleur de l’été commence : changement du décor de la maison.
-Journée longue au Msid. Déménagement de la salle d’études vers le petit sanctuaire.
-Le changement du décor de l’école coranique et la tolérance du maître ont des effets positifs sur la santé du narrateur : il commence à aimer le Msid et sa mémoire « fit miracle ».
-Le vendredi, le père rentre « gonflé d’orgueil » car le Fqih lui a assuré que Sidi Mohammed deviendrait un jour un savant ; mais le narrateur n’aime pas la manière d’être d’un tel savant : barbe….
-Stratégie du narrateur pour passer sa journée au Msid : le matin apprendre par cœur ; le soir, revers.
SEQUENCE 2.
-Lundi : le père tôt à la maison : rentrée inaccoutumée<<-Long monologue du narrateur au sujet des bijoux : vocabulaire pauvre qui entraîne une confusion dans son esprit.
-Fatma se prépare pour accompagner la famille au souk
SEQUENCE 3.
-Souk : ambiance des acheteurs/vendeurs.
-Dispute du père avec le courtier ou dellal : ils quittent tous les deux le souk pour résoudre le problème ailleurs.
-les deux femmes, accompagnées de Sidi Mohammed rentrent à la maison chagrinées : le narrateur affirme que c’est la première fois que la douleur de sa mère le bouleverse.
-Retour du père et refus de la mère de prendre les bracelets : elles sont un porte –malheur.
-Songe du narrateur : perturbation due aux moments pénibles du souk. Il se sent hanté par un climat d’insécurité.
-Le matin, le père ordonne que Sidi Mohammed n’aille pas au Msid.
-Après le déjeuner, l’arrivée de Lalla Aicha. Chagrin de cette femme.
-Etat grave du narrateur et affliction de la mère.
CHAPITRE IX.
SEQUENCE 1
-Retour du père : le narrateur voit vaguement ses parents qui s’inquiètent sur son sort. Rétablissement incomplet de sa santé, mais espoir.
-Le lendemain, le père arrive plus tôt que d’habitude.
-Silencieux, les deux conjoints offrent un climat de tristesse .Chacun d’eux est absorbé par sa reflexion : le père craint d’annoncer son absence d’un mois, la mère reste toujours convaincue que les bracelets doivent être vendus.
-La déclaration du père bouleverse le ménage.
-invocations touchantes du narrateur
SEQUENCE 2.
-Départ du père : l’aube.
-Sentiment d'être abandonnés : amour-propre touché.
-Rôle du père dans la famille.
-L’enfant rêve d’être un homme.
-Fatma entre portant un bol fumant : la tadeffi<<-Le narrateur reste définitivement à la maison, et ressent un vide atroce.
-Visite de Lalla Zoubida (seule) à son amie intime.
SEQUENCE 3.
-Vie du narrateur entre deux mondes : entre le jour face aux drames quotidiens, et la nuit face aux monstres ; entre mourir et se ressusciter.
-Les voisines font des vœux pour que Sidi Mohammed se rétablisse vite.
-Récit de Kanza : jeune femme enceinte et le sujet de « l’envie ».
-Arrivé de Driss le teigneux.
-Visite à Lalla Aicha : projet<<-Questionnée sur le sujet de Moulay Larbi par ses voisines, la mère affirme que sa nouvelle épouse le fait payer son ingratitude envers Lalla Aicha.
-La maison se cette dernière « suait la misère et l’ennui »
-Aicha change de programme : au lieu d’aller à qalqliyine, c’est le quartier de Seffah, Sidi el Arafi., le voyant.
CHAPITRE X.
-Arrivée à la maison de SIDI EL ARAFI
-Description de la maison et de l’aveugle.
-L’aveugle emploie des termes vagues pour désigner la situation présente et future des trois ; mais il s’avère rassurant. Et le narrateur affirme qu’il comprend tout en présence de cet homme.
-Silence de Zoubda sur la visite. Son comportement, même connaît un changement : »elle riait moins, ne racontait plus. »
-L’envoyer du père : un homme avec qqch. A remettre à la maison.
-Solidarité entre voisines au sujet du partage des bien venus de la compagne.
-La semaine est consacrée aux visites effectuées aux saints : chacun son jour spécifique.
-Lalla Aicha invite Zoubida à lui rendre visite le lendemain.
CHAPITRE XI.
-Présence chez la femme de Moulay Larbi : Récit sur Zineb<-Apparition de Salama, la marieuse professionnelle, avec sa voix d’homme : Lalla Aicha attend sa visite et c’est la raison de l’invitation de Zoubida.
-Salama raconte le récit de Moulay Larbi : c’est elle qui s’est chargée de lui trouver une femme <<-Actuellement il subit de mauvais traitements de sa jeune femme.
-La mauvaise conduite du narrateur engendre la colère d’une voisine qui lui reproche de ne pas fermer le cabinet d’aisance. C’est Salama qui apaisait la situation.
-Apparition d’une voisine qui demande de la menthe : « elle éclatait de jeunesse et de fraîcheur. »
-Le narrateur n’est pas impressionné par l’histoire racontée, mais par « la seule musique des syllabes. »
CHAPITRE XII.
-La Chouafa, en chantant emploie des termes chers à l’enfant et miment en quelque sorte le sens des objets neufs et précieux de sa Boite : cœur, œil de gazelle, lèvres de roses.
-Le narrateur se promet de composer des chansons, et se souvient amèrement de Zhor, voisine de Lalla Aicha.
-Toute la maison chante et c’est le coup de marteau qui stoppe cette activité : Allal Yacoubi vient, par demande du Fqih pour connaître des nouvelles du narrateur.
-La bonne nouvelle apportée par Zineb : retour du père.
-Allégresse de Zoubida : torpeur de la femme.
-Elle revient à la réalité lorsque le père entre : elle rit comme une petite fille.
-Récits racontés par le narrateur à son père.
-Arrivée de Driss el Aouad : La nouvelle du divorce de Moulay Larbi.
-Le narrateur se charge de porter le plateau aux deux hommes : sentiment de fierté.
-L’œuvre se termine par le retour du narrateur à sa Boite qu’il considère comme son monde intime dans lequel plusieurs objets sauront partager sa joie : inutile de se plaindre de l’indifférence du père.
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عن الكاتب

الأستاذ ابراهيم

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